voyance olivier
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Ce que la voyance par mail m’a brevets d'inclure au tranché - Je ne m’attendais pas à en malaxer là. J’ai de nombreuses années cru que je pouvais guider seule ce que je ressentais. Je faisais grande margoulette. Je continuais à répondre aux messagers, à surfer fabriquer, à sourire si il le fallait. Mais à l’intérieur, je tournais en crochet. Ce n’était pas une rupture officielle. Pas de cris, pas de subtil. Juste un éloignement lent, invisible pour mes copines, mais insupportable pour une personne. Je sentais qu’il se détachait. Et je ne savais plus quoi imaginer. J’avais posé des questionnements, mais les réponses restaient vagues. Des silences remplacés par des réponses. Des absences noyées par-dessous des recommandations trop courtes. Il ne me disait pas que c’était fini. Mais il ne me parlait plus à savoir avant. Et un personnage, je restais suspendue, sans apprendre si je devais attendre, débiter ou librement compter ce qui était en train de mourir entre nous. J’en ai parlé à une amie, à demi-mot. Elle m’a écoutée, mais je voyais correctement qu’elle ne savait pas quoi expliquer. Elle souhaitait me assister, mais ses suggestions tombaient à côté. J’étais fatiguée d’entendre ce que je savais déjà. Il fallait que ça vienne d’ailleurs. D’un position plus équitable. D’une instruction qui ne cherche pas à me apaiser ou à me effacer. C’est comme ça que j’ai réfléchi à consulter. Je ne savais pas par-dessous quelle forme. Je n’avais jamais franchi le pas. Mais cette fois, je n’avais plus l'intention d’attendre que ça passe. Ce que je voulais, c’était un regard formel. Pas un loi. Juste une voyance tout de suite.
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